Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

* " Apparement les parents de Cerise n'avaient guerre perdus de temps a venir nous trouver. Bien que cette visite surprise me surpris ce qui était le mot, je fus heureux pour Cerise qui contrairement a mon cas avait de tres bons liens avec ses parents. Je me contentais de répondre aux questions de la belle famille qui me faisait face, bien je sache éperduement que son père prénommé Daniel, allait me tester ou un truc dans le genre. Il voulait protéger sa fille et cela était tout en son honneur. " *

" Disons que Cerise a des attraits de femme enfantine et je pense que cette particularité fait d'elle ce que j'apprécie le plus chez elle, Mr. Stewart ^^. J'étudie la musique en espérant pourquoi pas en faire un métier sur pour l'avenir. "

Je fini par revenir avec les tasse de café, Jules m'en avait demandé une avant même l'arrivée de mes parents, c'était pourquoi je lui avais fait, n'ayant pas oublié. Je m'assis sur l'accoudoir, buvant ma tasse de café en regardant mes parents. Mon père adorait poser des questions indiscrètes.

DANIEL_ Et je suppose que Cerise n'est pas ta première petite amie ?
CERISE_ Papa, s'il te plait.
DANIEL_ C'est juste une question ma chérie.
CERISE_ Jules, tu sais..si t'as pas envie de répondre, tu peux hein. C'est ton droit, je sais que tu n'aime pas parler de ta vie privée

Je regardais mon père puis entendis mon téléphone sonné, je rougis, Jules ne savait pas encore que je lui avais piquer ma berceuse pour la mettre en sonnerie téléphone, c'était un sms pour m'avertir que mon cours de danse classique de demain était annulé, qu'allais-je donc bien faire. Pourquoi pas m'incruster au cours de Jules, j'étais discrète, et puis c'était une occasion de revoir les pimbêches qui m'amusait tant

CERISE_ Oui, c'est ma berceuse, tu m'en veux ?
CADENCE_ Ta berceuse ?
CERISE_ C'est une composition de Jules, je la trouve magnifique

DANIEL_ Et tu as raison, tu es vraiment talentueux Jules, je suis sur que tes espérances auront un impact positif sur ton avenir

* Les questions que posait le père de Cerise étaient tout a fait légitime, cependant le passé n’était pas vraiment une période que j’affectionnait le plus au monde. Toutefois je préférais répondre a Daniel en étant le bref et succinct possible pour ne pas qu’on me reproche quelques choses ou bien encore a Cerise. *

« A vrai dire, votre fille est la deuxième petite amie avec qui je m’engage autant. »

« Merci Mr. Stewart ^^ »

Je souris et ce fut seulement deux heures plus tard que mes parents décidèrent de rentrer. Jules partit pour que je ne sait qu'elle raison, il lui arrivait de ne pas parler, se dévoiler, mais je lui faisais confiance. Je reçu un autre texto et me pinçais la lèvre. Terreur, c'était l'apocalypse, mon cours de classique était finalement remplacer par un "test d'aptitude" je devais répéter, répéter et encore répéter. Je connaissais la chorégraphie sur le bout des doigt, mais pour le moment, je devais décompresser. Je me dirigeais vers la cuisine et regardais Oscar sur le pas de la porte

- Accès interdit à la cuisine.

Quelques heures plus tard, j'entendis Jules rentré, il allait me tuer, surement car le plan de travail était comblé. Une tarte aux pommes, trois fournées de cookies, plus une encore dans le four, j'avais eu le temps de faire un cake à la noix de coco, des brownies, je me demandais comment j'arrivais à faire tous ça. Je regardais les crêpes qui étaient elles aussi sur le plan de travail, c'était l'un de mes principaux défauts, faire de la pattiseries jusqu'à n'en plus finir, et cela, seulement quand j'étais stressée. Je vis Jules entrer et me pinçai la lèvre

- Je suis désolée...

" Mais non ne t'inquiète pas, ca fera de la nourriture pour nourir ton idiot de petit ami et j'en connais un autre qui se fera une joie de m'aider. "

" Bon est si tu me disais ce qui te fait autant stresser ? "

J'avais entouré mes bras autour de sa taille avant de l'embrasser paisiblement, tendrement, je fronçais les sourcil d'un air enfantin avant de me retirer doucement de lui, toujours les bras enrouler autour de sa taille. Jules était le genre de garçons qui cernait les personnes bien vite, et j'avouais que j'étais étonnée qu'il est trouvé mon problème. Je me pinçai la lèvre et enfui mon petit nez dans sa chemise avant de grimacer

- J'ai un test d'aptitude à la place de danse classique... En danse

Je relevais la tête et sourit doucement avant de l'embrasser à nouveau, il m'apportait une sérénité bien plus que nécessaire

- Je t'aime tu sais...

" Aucun stress ne devrais avoir raison de toi, tu es certainement l'une des meilleure danseuse de ta classe, tu vas le réussir sans aucuns embarras. "

" Excellent ! "

" Je t'aime aussi mon amour. "

Je lui avais timidement sourit lorsqu'il voulu me rassurer, ce qu'il avait réussi, une fois de plus, à faire. J'éclatais de rire face à sa remarque sur mes cookies, puis fini par plonger mon regard dans celui de Jules avant qu'il ne me réponde que lui aussi m'aimait & qu'il m'embrasse tendrement. Je prolongeais le baiser, aggripant délicatement ses cheveux avec lesquels j'aimais tant jouer. J'étais folle de lui, Jules était mon premier petit ami & j'avais l'impression que cet homme, était tout bonnement parfait.

- Tu sais que ma mère m'a dit qu'elle me sentait plus...femme. Que j'avais changé, en bien.

" Changer en bien ? Tu as toujours était bien Cerise, de la a savoir si tu as changé en bien par excellence, je ne demande qu'a voir "

Une fois de plus, il me taquinait, je souris et le regardais lorsqu'il retira ses lunettes noires, je me pinçais la lèvre, je n'aimais pas ce que je voyais, le savoir fatigué. Il se dirigea vers le piano et je m'assis dessus avant de jouer avec le clapet qui servait à protéger les touches. Je regardais Jules une boue mécontente sur le visage, mais je ne disais rien, me concentrant sur le clapet

- Je le lâche ?..Au moins je t'écraserais les doigts et tu ira enfin te reposé. Je suis sérieuse Jules, c'est une menace. Je veux que tu aille te reposer, tu as besoin de sommeil.

Alors que j'avais le regard dans le vide, je le posais enfin sur Jules

" Pardonne moi mais j'ai besoin de mes doigts pour étudier ou encore pour bosser et rendre ce que je dois produire Cerise. La fatigue n'est pas un obstacle d'accord, je me reposerais plus tard. "

Je tenais toujours le clapet et le regardait menaçante,
j'étais capable & il le savait, j'étais toujours capable de tout.
Il ne broncha pas longtemps et je me pinçai la lèvre.

- Une heure Jules, une petite heure c'est tout ce que je demande, je te réveillerai...

Je lui souris doucement mais il semblait obstiné

- Bouge tes doigts des touches...

Il n'en fit rien

- A trois je lâche

Toujours rien

- 1...2....3

Je lâchais le clapet et Jules eu comme un réflex que je remerciais

- Je t'avais prévenu...Va dormir, je te réveille dans une heure de te le promet

Son regard peu aimable me glaça le sang, je foudroyais Oscar du regard qui ne cessait d'aboyer, il me rendait soudainement de mauvaise humeur, mais il continuait

- Quoi ! Qu'est-ce que tu veux Oscar !

Il me regarda et grogna, ok, je lui foutais la paix, je rejoins Jules dans la cuisine, pris le gâteau au chocolat, et tant pis pour ma ligne et mon test de demain, là, j'avais besoin d'un remontant. Je regardais Jules d'un air foudroyant, oui, je ne voulais que son bien & il n'avait pas l'air de comprendre. Je saisissais une fourchette, je cru que si je n'arrivais pas à me contrôler, je lui aurais enfoncé ceci dans la main. Mais je ne fis rien, je le regardais encore

- Je serais dans la chambre. Puisque tu ne veux pas dormir, autant qu'elle soit occupée.

Je partis dans la chambre et claquais violement la porte avant de poser le gateau sur le lit et commencer à le manger

" Oscar vient ici . "

Je mangeais le gâteau, jusqu'à m'en rendre malade et ignorait Oscar aboyer, Jules fini par l'appeler puis je n'entendis rien, lorsque je sortais pour mettre le gâteau dans le frigo, déjà bien entamer, je remarquais un Jules endormi, je fis une petite danse de joie, complètement stupide puis revenait vers le canapé avant de lui enlever délicatement le bouquin et lui caresser la joue. Je lui mis une légère couverture puis m'installais sur un fauteuil. Je trouvais cela fascinant de le regarder dormir

[list] Je le regardais dormir lorsque je vis Oscar fourré sa truffe contre la joue de Jules, j'ouvrais grand les yeux et hurlait, mais il était trop tard

- OScar NON !

Jules était réveiller et je me mis à courir après le chien qui vagabondait dans l'appartement, lui hurlant dessus

- Jules dormait !!! T'as tout gacher ! T'aurai pas pu le réveiller plus tard nan !!![/list]

J'entendis siffler et je tournais la tête directement, Jules était bel & bien réveiller, je grommelais puis m'approchais de lui lorsqu'il me regarda avec un sourire. Je vins m'assoir sur ses genoux et l'embrassa doucement

- Tu te sens un peu mieux. C'est Oscar, je te promet, il a poser son grognon sur ta joue, je ne voulais pas qu'il te réveille & ...je parie que c'est moi qui t'ai réveillé '--

" Non t'inquiète de toute manière je ne comptais pas dormie autant. "

Je souris puis regardais ma montre avant de sourire et lui tirer la langue, finissant par lui montrer le cadran, Jules avait dormit une heure, tout ce que j'esperais. Je me pinçais la lèvre et l'embrassais amoureusement, jouant légèrement de sa langue, depuis la nuit où... Je me surprenais à être un peu plus coquine dans mes baisers, sans en demander plus bien entendu. Je souris en me détachant de lui et souris

- Tu veux un peu travailler je suppose. Maintenant, tu as le droit.

J'éclatais de rire avant de sourire et l'embrasser une nouvelle fois, mais plus tendrement.

- Dis-toi Jules, que je ne fais pas ça pour t'énerver, seulement pour ton bien.

Tu sais Cerise ce n'est pas une question de droit ou encore de devoir, c'est juste que maintenant je sui sdeux fois plus crevé. Mon bien ? Peu importe, a l'heure actuel je suis trop fatigué et aucune motivation.

Je le regardais et souris lorsqu'il me dit tous ça, je regrettais un peu, mais au moins, il avait dormis, et ses cernes s'étaient légèrement atténuée. Je l'enfermerais demain matin, il n'avait pas cours avant neuf heures, moi aussi, je lui laisserai l'accès à la salle de bain mais par celui au salon.

- Tu sais, je m'en veux, je t'ai quand même obliger à dormir...

Oui j'en ai l'impression mais rien est encore joué Miss Stewart.

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