Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

'' Désolé je te réveillé ... Non j'ai encore quelques trucs a paufiner mais je t'avoue que le sommeil est tout proche. "

Lorsqu'il s'approcha du lit, je m'accoudais au matelas et le regardai avec un sourire, je lui caressa la joue et l'embrassa tendrement, grimaçant, goutant le café

- " Non, je sentais comme une présence et voila.... Je me suis réveiller, mais même si c'était Oscar je l'aurai sentis..."

Je l'embrassais encore une fois et passais ma main dans ses cheveux

- " Alors termine vite, mais que se soit bien fait quand même, et vient dormir, on dirait que tu n'as pas dormi depuis des siècles "

" Tu aurais pas put me le dire avant ?! "

Je m'étais rendormie et rêvais de beaucoup de chose, je rêvais de Jules, mon si magnifique petit ami. Je serrais l'oreiller comme si Jules était contre moi, et oui, je rêvais, sans vraiment faire m'en rendre compte je soufflais son nom, durant de longue heure d'ailleurs.

Un quart d'heure dehors avait suffit aux deux zigottos pour rentrait vite fait bien fait? Le chiot ne demandait son reste et alla se couchait comme il en avait prit l'habitude depuis le temps. Jules se dirigea direct ver sa chambre et le laissa tombait doucement dessus l'esprit completement ailleurs. Il remarqua que Cerise soufflait son prénom. Il lui caressa la jou en faisant attention a ne pas la reveiller. La tete posée sur sa main, Jules la regarda quelques instant avant de fermer les yeux.

Je sentis une fraicheur sur ma joue, mais c'était agréable. Je me retournais et entourais quelques chose, surement Jules, je le serrais contre moi, dormant profondément. Le lendemain matin, je me réveillais, toujours contre Jules, je lui caressais la joue avant de poser mes lèvres contre les siennes, je ne voulais pas le réveiller, surtout que je ne savais à quelle heure il était aller se coucher. Je frissonnais sous la froideur du matin, je fouillais dans les armoires de Jules, attrapait un pull, je n'avais pas mis sa garde robe en désordre, c'était bien, un exploi. Je me dirigeai enfin dans la cuisine après avoir enfiler le pull de mon petit ami, déscidai enfin de faire le petit déjeuner, des pancakes, je regardais Oscar.

- " Cette fois ci tu peux toujours courir..."

Je souriais et terminais à peine de mettre le sirop sur les pancakes lorsque j'entendis un bruit

" Ma ballerine préférée faisait le petit déjeuner ?! "

" Bonjour, mon amour ".

Je sentis un doux baiser dans mon cou après avoir entendu la merveilleuse voix de mon petit ami. J'attrapais ses mais, de façon à l'enlacer moi aussi, d'une certaine manière et vint prolonger le baiser qu'il m'offrait, les aboiements d'Oscar se firent entendre et j'éclatais de rire

- "Bon ok Oscar, t'aura des pancakes, mais pas beaucoup hein, surveillons ta ligne "

Je souris et me retournais avant d'embrasser une nouvelle fois Jules

- " Bonjour mon ange, bien dormi ? "

" Il arrive toujours a ses fins celui la "

" Ouai ... Dommage que je n'es pas dormi plus longtemps. "

" Et plus d'etre une magnifique artiste tu es une as de la cuisine. En somme parfaites dans tous les domaines ?! "

Je me mordillais la lèvres avant de m'installer à la table de la cuisine pour manger mon petit déjeuné. Je souris à la remarque de Jules, rougissant légèrement

- " Une femme parfaite n'existe pas, c'est son homme qui la pousse malgré lui a s'améliorer de jour en jour "

Je l'embrassai avant de lui caresser la joue et regarder ma tenue

- " Ca ne te dérange pas si j'ai pris un de tes pulls, j'avais froid "

" Non, mais ta phrase va dans les deux sens que se soit pour un homme ou pour une femme. "

" Mais si je t'en veux enormement d'ailleurs je devrais t'en vouloir a mort "

Je le regardais et lui tirai la langue, c'était mon premier
réveil avec lui à mes côté, et je n'avais jamais passé un aussi beau
matin. Jules avait toujours réponse à tout. Lorsqu'il dit qu'il devrait m'en vouloir à mort avant de m'embrasser je souris et le regardai.

- J'aime quand tu m'en veux, tu pourrais m'en vouloir un peu plus s'il te plait Jules ?

Je me penchai vers lui, espérant un autre baiser de sa part

" Le problèle voix tu c'est que j'ai dut mal a t'en vouloir mais je peu peut etre faire un effort ... "

Je le regardais et étirais un large sourire lorsque Jules m'annonça qu'il ferait un effort. Je prolongeais à mon tour le baiser, le passionnant, j'adorais vraiment ses rares moments entre lui et moi. Je me détachais à regrets de lui

- "Mhmmm... c'est aussi bon que les pancakes"

J'éclatais de rire et terminais mon assiette, qui avait été commencée par Jules...

Le jeune musicien essayait de contenir son rire et regarda la brunette est sourit a sa remarque. Il se le va embrassant le sommet du crane de Cerise au passage. Il marchait en direction du salon, ou son compagnon de toujours, le fidèle Oscar machouiller on ne savait trop quoi. Jules prit place derrière le piani est jouait la partition qui lui avait donnait tellement de fil a retordre la veille.

Je débarrassais enfin la table et me dirigeais vers le salon, entendant une douce musique, je souris, m'appuyant contre le chambranle de la porte

- C'est cette magnifique mélodie pour laquelle tu as travailler cette nuit ?

Je le regarda d'un air attendrit avant de m'installer à ses côté, déposant ma tête sur son épaule

" Mais elle est a toi mon amour.
Tu en es a l'origine donc elle est a toi. "

Je le regardais, le regard encore plus qu'attendrit, presque si je ne pleurais pas, je l'embrassais passionnément, de manière à lui prouver mon amour et le remercier par la même occasion

C'est le plus beau cadeau que tu puisse m'offrir Jules. Je t'aime

Je souris et l'embrassa encore, je ne savais vraiment pas comment réagir, mais j'écoutais la mélodie, je la gardais en tête..à tout jamais

" Je t'en prie mon amour ... "

Je souriais, Jules était vraiment le garçon parfait, j'entendis ensuite mon téléphone sonner, et je décrochais, encore ma mère, je n(eut le temps de dire quelques chose qu'elle commençait déjà

- Alors ma chérie, ça va ? Et tu es toujours chez Jules ? Vous allez bien, tu sais que ça ne se fait pas de raccrocher au nez ! Surtout à sa mère, c'est d'une impolitesse !

- Désolée maman, oui on va bien, là Jules joue au piano, on vient de déjeuner

- Oh Jules est là ? Est-ce que je peux lui parler ? Oh s'il te plait Cerise

- Mais Maman...

- Cerise Isabella Stewart, j'aimerai parler au jeune homme qui est présentement ton petit ami !!

Je ronchonnais et tendis le téléphone à Jules, faisant une moue boudeuse, je n'avais pas réussi à échapper à ce que Jules passe un interrogatoire

- C'est ma mère...

« Madame Stewart. »

Je regardais Jules s'emparer du téléphone et de saluer ma mère avec une telle politesse. Il était vraiment parfait, du côté de ma mère, je l'imaginais ouvrir de grand yeux lorsqu'elle entendit sa voix. Celle-ci, comme à son habitude déblatéra un bon nombre de paroles

- Oh, tu as un très joli timbre de voix, j'imagine que tu dois être très beau, Cerise a toujours eu un faible pour les beau garçon, elle a de très bon gout habituellement, et j'espère que tu la respectes, attention à toi si tu lui fais du mal, tu sais je suis peut-être toute petite mais je fais du Judo

J'entendais tous et levais les yeux au ciel, ma mère n'avait jamais osé rentré dans une salle de gymnastique et ne supportais pas lorsque mon père regardais le catch à la télévision.

- Et sinon, quel âge as-tu ? Tu habites tous seul et tu gère tes études à l'université, tu travailles au moins ? Et puis-je savoir d'où tu viens, quel son tes résultat habituellement dans tes dernières années d'études ?

Je soupirai et regardais Jules d'un air désolée, je ne voulais pas qu'il subisse tous ça

Et bien je vous en remercie. N’ayez aucunes craintes la dessus je respecte les souhaits de votre fille et notamment sa personne. »

« Je vais essayé de répondre en étant le plus clair possible. Actuellement j’ai dix neuf ans et je suis dans la même école d’art de votre fille. Je ne suis pas américain de pur souche mais britannique. Je travail en donnant des cours de musique a des enfants de 7 a 12 ans et pour ce qui est de mes derniers résultats je dirais que j’ai été reçu avec mention. Si j’habite seul ? Non mais comme mon paternel fait des travaux, ces derniers oui je suis obliger. »

« En espérant que vous soyez satisfaites de mes réponses, je vous repasse votre fille Madame Stewart. Ce fut un plaisir de vous a eut via le téléphone. »

Je regardais Jules répondre aux questions de ma mère, tout en gardant son sérieux, son calme et sa politesse légendaire, il me repassa le téléphone en m'embrassant sur la joue, je souris et levais les yeux aux ciel avant de reprendre la paroles

- Maman, tu n'étais pas obligée

- Ma chérie, Jules est un garçon très charmant, tu a mon consentement

-..Mais elle a pas le mien ! Je veux voir le moustique moi !

J'éclatais de rire en entendant hurler mon père, je l'imaginais, dans son canapé, ou devant son bureau, réglant les comptes ou comptant l'argent de la caisse

- Dis à Papa que Jules est vraiment un garçon très bien, attend...

Je marchais dans la chambre de Jules, lui tapais sur l'épaule et fit rapidement une photo de nous deux, vraiment magnifique, je la mettrais en fond d'écran après, heureusement, ma mère et moi possédions un téléphone portable multi-fonction. Je l'envoyais à ma mère et celle-ci en fut très heureuse, je l'entendis s'exclamer

- Daniel, viens voir sur le téléphone, Jules & Cerise sont si mignons ! Il est vraiment très beau, vient voir je te dis

J'entendis aussi mon père ronchonner et puis il me souffla un je t'aime, prends soin de toi. Je souris et la conversation dura quelques minutes puis je raccrochais. Je regardais Jules

- Désolée...

« Je vois pas en quoi tu devrais etre désolé mon amour. Je trouve cela plutôt bien que tes parents se souci de toi de cette manière et puis c’est logique qu’ils veuillent te protéger. Une perle comme toi on n’en trouve pas a tout les coins du monde. »

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