Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

Après avoir passée la soirée a composer, et d’avoir fait la rencontre de Cerise Stewart, le jeune musicien était rentré le soir même chez son père pour voir ce qu’il advenait de la famille tout de même. Le fait qu’il ne s’entende pas avec son père avait un rapport avec le passé mais comme cela l’était depuis des années et des années le jeune taciturne ne sollicita aucun mot de la part de son paternel. Une fois chez lui, le jeune homme en profita pour se changer et prendre une douche. Le temps dehors ne jouait pas en sa faveur surtout avec les quelques flocons de neiges qui tombaient, il enfila un bonnet noir comme il en avait l‘habitude. Jules repartie comme il était venue, c’est-à-dire limite a l’anonymat. Il prit sa voiture, une Laguna noire et se dirigea vers le chemin de l’université de musique. Tout en écoutant une chanson des Rolling Stones, le jeune musicien se mit a penser a ce qui était arrivé un peu plutôt avec Cerise. Esquissant un sourire, Jules se gara sur le parking de l’académie de Brooklyn et descendit de son véhicule. Il pressa le pas les mains dans les poches en direction de la cour. En dépit du temps, ce qu’appréciait le jeune pianiste était sans aucun doute la saison hivernale. S’asseyant a l’une des nombreuse table couvert part un toit en bois, Jules sortie de sa poche une feuille où été noté diverses notes de musique. Il tenta alors de finir la partition qu’il était en train de composer.

La belle Cerise avait passer une nuit de folie, ou plutôt calme et reposante, pleine de rêve. La brunette s'était endormie avec le pull de Jules, jeune homme qu'elle avait rencontrer dans la salle de musique, celui qui l'avait complètement retourner et qu'elle définissait comme son petit ami. Le lendemain matin, la jeune fille se réveilla d'un air joyeux et partit prendre sa douche. La ballerine s'habilla d'un jeans slim et de convers jaune, pour le haut, elle enfila un débardeur blanc ainsi que sa veste mauve. Elle se munit aussi d'un bonet en laine et s'enfourna dehors, marchant vers la cour. Une délicieuse surprise s'offirt à Cerise, elle le reconnu de dos, son Jules... Elle s'approcha, passa ses mains autour du cou du jeune homme avant de l'embrasser au même endroit : le cou.

- Bonjour homme de mon coeur...

souffla-t-elle délicatemen

t

« Hey ! Comment se porte la plus jolie aujourd’hui ? ».

« Si je m’attendais pas a te voir ici de bonheur mais tu m’envois ravis. ».

La jeune Cerise sourit et le regarda, elle lui fit un bisou sur le nez et alla se mettre face à lui. Comment allait-elle ? C'était une bien jolie question, Cerise allait magnifiquement bien depuis sa rencontre avec Jules, c'est à dire la nuit dernière.

- Très bien, j'ai dormi comme un bébé. Et toi mon ange ?

Elle se mordit la lèvre et se leva pour revenir à la position qu'elle avait en arrivant c'est a dire les bras enrouler autour du cou de Jules, la pauvre, elle avait vraiment la bougeotte aujourd'hui

- Qu'est-ce que tu fais... C'est une partition ? Je pourrais voir après ? Quand tu l'aura terminé bien entendu, je suis désolée je parle trop, mais ça fait tellement du bien de te revoir, j'ai l'impression qu'on c'est quitter il y a de ça une éternité.

Elle fourra son petit visage dans le cou du jeune homme et de son nez glacé elle entra en contact avec la peau de Jules.

- Tu es très beau aujourd'hui, plus beau que hier, moins beau que demain. Je t'aime

La ballerine ne put s'empecher de rire, en plus de bouger elle parlait pour ne rien dire, mais elle le pensait vraiment, elle était seulement prise d'une extrême bonne humeur

« Oh ! Bien comme d’habitude. ».

« Euh … oui c’est un brouillon de partition qui est loin d’être terminée mais j’y travaille. Tu sais que je pense la meme chose que toi ?! Oui je m’en doute. ».

« Tu sera toujours la plus belle personne a mes yeux Cerise. ».

Jules était vraiment une personne adorable. C'était bien un brouillon de partition, loin d'être fini. La brunette caressa la main de Jules avant de reporter son attention sur la feuille. La jeune fille sourit lorsqu'il lui annonça qu'elle serai toujours la plus belle personne à ses yeux. La petite ballerine caressa la joue de son petit ami et fronça les sourcil

- T'es sur que t'as bien dormi, tu devrais un peu te reposer tu sais mon coeur, tu as l'air épuisé.

Elle se pinça la lèvre et tourna les yeux

- Qu'as donc-tu fais cette nuit...

« Non je dors bien ne t’en fais, mon amour. ».

« J’ai été dormir chez mes parents histoire de voir si tout allez bien. ».

La jeune fille fut surprise mais à la fois heureuse, il avait été dormir chez ses parents, c'était un petit progrès et c'était mignon. La jeune fille enfui une fois de plus sa tête dans le cou du jeune homme, l'assenant de baisers aussi doux les uns que les autres

- Moi qui croyait que tu avais rencontrer une jolie fille, avec qui tu aurai passer la moitié de la nuit.

Cerise sourit à se souvenir encore frai dans sa mémoire

- D'ailleurs, si c'est le cas, la jeune fille aurait dormi avec ton pull, qu'elle n'a pas l'intention de rendre...

Elle souffla dans le cou de Jules, fermant les yeux

- Comment vont tes parents ?

« Je me demande comment elle aurait put être cette jeune demoiselle ? Brune … Un regard aux yeux verts assez intrigant ? Non je ne vois pas. ».

« Ca va comme toujours. ».

Jules la taquinait et cela fonctionnait puisqu'à chaque plaisanterie, il arrivait à faire tirer sa petite bouille enfantine et boudeuse à Cerise. Elle prolongea le baiser et écouta son homme, ça allait, comme toujours.

- Comment ils-sont..tes parents ? Tu ressemble le plus à qui ? Ta mère ? Ton père..Physiquement et psychologiquement hein...

Cerise le regarda, elle savait qu'il n'aimait pas parler de ses parents, c'est d'ailleurs pourquoi elle plongea son regard dans celui de Jules et lui caressa la joue

- Si tu veux pas me dire c'est pas grave, je ne te force pas

« Physiquement je tiendrais plutôt de mon père, mise a part les yeux peut être. Quand au portrait morale il reposerait plus sur celui de ma mère m’enfin c’Est-ce que les gens disent âpres j’en sais pas plus. ».

« Et toi dis moi a qui pourrait tu ressemblais ? Ton père ou ta mère ? ».

Cerise écouta attentivement son petit ami. S'il ressemblait beaucoup à son père, alors son père devait être très beau, et les yeux de sa mère, Cerise craquait littéralement sur les yeux de Jules, sa mère devait être magnifique

- Ta mère doit être une personne unique... Je l'imagine très belle, une femme forte, indépendante, sûre d'elle

La brunette fermait les yeux un instant et embrassa le jeune homme sur la joue avant qu'il ne lui pose la question à son tour, à qui ressemblait-elle le plus

- Je dirai, physiquement, à ma mère, psychologiquement, les deux, je suis une fille contradictoire, mon père est dynamique, extraverti, alors que ma mère est une femme introvertie. Mais je rougis beaucoup comme ma mère, parle beaucoup trop comme mon père, est aussi optimiste que ma mère et perfectionniste comme mon papa...

« Oui ..
Tes parents doivent etre sympa … ».

Cerise voyait, à l'expression de son petit ami, qu'il n'était pas dans son état normal, bien sur que ses parents était sympathique, mais le moment n'était pas le plus approprié apparemment, Cerise caressa la joue de son Jules d'un air triste

- Qu'est-ce qui va pas ? Qu'est-ce que j'ai dit ?

Elle le regarda avec sa petite bouille, elle était sure qu'être la cause de son soudain changement d'humeur

- C'est à cause de moi, de tes parents, je suis sur, on en a trop parler c'est ça...

« Non ne t’en fais pas, c’est pas vraiment … Enfin peu importe, c’est du passé et on ne reviens pas en arrière. ».

« Tu as des cours aujourd’hui ? »

La jeune fille lui sourit timidement pour ensuite lui embrasser le nez, comme pour faire partir toute les mauvaises penser, un baiser qu'elle voulait apaisant. La jeune fille sourit et se mordit la lèvre

- J'ai pas encore regarder à vrai dire, et puis je suis trop bien là pour partir...

Elle lui caressa la joue

- Mais,..si je rate un cours, ce sera pour ma poire et je vais me faire réprimander et j'aurai surement du retard...

« On a qu’a allez voir a quelle heure tu as cours et puis je t’y accompagne ? ».

La jeune fille sourit et hocha la tête, même si, par malheur elle avait cours, elle ne voudrait pas le quitter, il était devenu sa drogue, sa propre marque d'héroïne. Elle l'embrassa

- Allez lève toi va, avant que je ne te saute dessus pour qu'on reste ici une ÉTERNITÉ

Elle éclata de rire et lui tendit la main

En la regardant le jeune homme ne pus s’empêchait d’arquer ses sourcils et de finir par rigoler suite a la remarque de Cerise. Il prit ensuite sa main et ils mâchèrent tous deux en direction de l’intérieur de l’université. Bien qu’ils soient dans la même université Jules n’avait pas le même emploi du temps et spécialité de la jeune ballerine, ils devraient néanmoins accorder leurs violon pour se trouver des moments afin de se voir. En entrant dans les couloirs, Jules remarqua le monde qui le toisait du regard, évidement il se doutait que ces regards venaient forcement de la gente féminine et dans un certain sens cela le faisait rire sans aucun doute.

Lorsqu'il entrèrent Cerise baissa la tête se sentant inondée de regard meurtrier, la jeune femme resserra la poigne qu'elle avait sur Jules et inspira un bon coup, elle leva la tête et marcha tête haute, certaine fille la toisaient du regard, regardant plus délicatement et plein plus charmeusement Jules

Elle serra les dents et fermit les yeux, inspirant encore une fois. Elle finit par murmurer toute sa nervosité

- Nan mais elle ont quoi ces pimbeche je vais leurs montrer moi, elle voit pas que t'es pris, roooh ça m'enerve elles jugent quelle bande de..Grr

« Toutes filles ont du talent certes mais ne t’arrive aucunement a la cheville Cerise. ».

La jeune fille sentit le bras de Jules autour de son épaule et sourit doucement, Jules la soutenait d'une façon ou d'une autre. La brunette le regarda et sourit, touchée par les paroles du jeune homme, comme ça, pour lui, ces filles ne lui arrivaient pas à la cheville, elle en était vraiment et véritablement rassurée. Lorsque Jules embrassa Cerise sur la joue, la ballerine planta son regard dans celui de son petit ami, elle lui déposa ensuite un tendre baiser sur les lèvre, non pas pour prouver à ses petites pimbêches que Jules était sa propriéter et qu'elle était prête à mordre si on s'en approchait trop, non juste parce qu'elle en avait envie et qu'elle ne pouvait résister à ses si beaux yeux

- Je t'aime...

« Certains voulaient des photos tout a l’heure on dirait bien. ».

La belle Cerise laissa échapper un somptueux rire et le regarda, elle le trouvait si beau, si parfait. La jeune femme sourire et lui caressa la joue avant de reprendre sa marche. Elle arriva devant un tableau et grimaça, elle avait histoire de l'art. la jeune fille tapa du pied mécontente, telle une fillette et regarda son petit ami

- Heureusement que je suis toujours munie d'un bloc note et d'un stylo... J'ai pas envie de te dire au revoir..Tu m'accompagne hein, t'as promis

Elle lui fit, comme elle avait l'habitude, sa petite bouille d'enfant suppliant

- S'il te plait...

« Une promesse est une promesse « ma » Cerise ».

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