Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

Je le regardai avant de sourire, me mordant la lèvre. Il était beau avec son simple joggings. Oscar grogna lorsqu'il se posta devant lui. J'éclatais de rire et tapais sur le lit avant qu'Oscar ne saute dessus. Je remontais la couvertures et caressais le chien entre les deux oreilles

- Toi aussi je t'aime mon joli toutou

Oscar tira la langue puis tira sur la couverture, je fronçai les sourcils avant de regarder Jules, qui m'avait furtivement embrasser

- Non mais ta vu ? C'est un pervers ton chien

" N'en profite pas non plus ! "

" Je ne savais que tu lisais ce genre de chose "

Je regardais Jules en souriant, j'étais hilare par la situation, son chien était tout petit, mais assez pervers, spéciale, UNIQUE. Lorsque Jules revins vers moi en me tendant le livre je sentis mes pommettes rougir, il était fort embarrassant pour moi que Jules ne trouve mon livre : 208 nouvelles façons de rendre un homme fou de désir. Enfaite, pour tout avouer, je l'avait lu pas mal de fois, et je pouvais dire que, malgré que Jules fus ma première fois, je savais comment le faire craqué de 208 façons différentes. Ce livre m'avait été offert par Cassy, pour Noël, d'ailleurs, si ma mère tombait dessus, elle ferait surement une crise cardiaque. J'attrapais le livre d'une mains, le t-shirt de Jules de l'autre, finissant par embrassant mon petit ami

- Tu sais que c'est gênant pour une femme de savoir que son petit ami à trouver ses petits secret pour le faire craquer.

Je souris et l'embrassais encore, lui mordillant la lèvre, je le regardais ensuite avant de m'enrouler correctement dans les draps

- C'est Cassy qui me la offert à Noël, pour me...décoincer. Elle s'est surement dit, avec Jules comme petit ami, un canon pareil, il faut qu'elle passe des niveaux.

Je lui fis un clin d'œil avant d'enfiler des sous-vêtements propre, sans pour autant me montrée devant Jules, puis, sans retenue, sans aucune pudeur, j'enfilai une chemise de mon petit ami avec un joggings à moi. Je regardais mon petit ami en souriant.

- Tu es beau Jules Winster.

J'éclatais de rire et l'embrassais avant de partir fumer sur le balcon, admirant la vue. Une petite cigarette de temps en temps, ce n'était vraiment pas grand chose. Lorsque Jules me rejoint sur le balcon je me tournais pour être face à lui, cigarette au bec, je lui adressais la parole.

Ça me donnait un petit air vulgaire, ou plutôt comme les vieux commissaire dans les film en noir et blanc.

- Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

Je crois que tu exagères un peu, après tout il y a toujours mieux que nous. J’émettrais tout de même quelques doutes à ton sujet. La perfection pourrait très devenir ta future définition.

« J’aurais aimé rester surtout après ce qui c’est passé mais je dois allez bosser avec Jane sur son projet de composition. ».

Je le regardais et grimaçais, moi aussi j'étais jalouse, d'un côté je n'avais jamais vu cette Jane en question mais je me sentais en danger constant. J'enlaçai son cou avant de me hisser sur la pointe des pied et embrasser Jules tendrement.

-Je t'aime, sache le. Je ne t'en veux pas, tu me l'a dit tout à l'heure

Je souris doucement et le regardais avant qu'une idée ne me traverse l'esprit

- La fois dernière ton patron & Jane on du annulé. Alors invite les ce soir, je prépare le diné, tu verra, Oscar ne mangera rien de ce que je préparerait, il est bien trop gourmand comme ça, cette fois je le laisserais pas filer avec le roti..

Je grimaçai

- Et voila, je parle trop et je t'ai dit ce que je ferais pour le diner.

J'éclatais de rire

- Tu me préviens quand même s'il vienne ?

Une soirée mondaine et bourgeoise ça te dit ?

Tu peux refuser bien sur et …

Je regardais Jules en arquant un sourcil, il savait pertinemment que lorsque je voulais quelque choses je l'aurai. Je grimaçais et le regarda avant de sourire, mais il se perdit vite lorsque j'entendis les mots mondaine et bourgeoise, je finis par partir dans un moment d'hilarité que Jules ne compris guère.

- Tu veux dire avec les gosses de riches peteux se ressasent leurs dernières vacances aux caraïbes ?

Jules hôcha la tête d'un air désèspérer, ce qui me donna encore plus des idées en tête. Pour une fois, ce genre de souper ne me fit pas peur. Je sautillais d'ailleurs d'impatience et Jules, une fois de plus ne compris pas

- J'aurai le droit de me moquer ? Hein..Dis oui, dis Oui, Dis OUIIII..

Oui c’est a peu pres ça.

Je regardais Jules qui avait l'air désespéré, je souris avant de m'avancer à nouveau vers lui et l'embrasser passionnément, j'éclatais de rire et le regardais

- Je n'ai jamais été partante pour se genre de soirée, je n'y suis jamais aller. Mais pour moi, c'est un terrain de jeu, parce que je sens qu'on va bien rire tous les deux.

Je souris avant de partir vers la douche et me lavais avant de m'épiler les jambes, je sortis de la salle de bain dans une serviette bien chaude afin de trouver une robe dans mon sac. J'entrai à nouveau dans la salle de bain et enfilai ma robe, séchant mes cheveux, les laissant ondulé, je me maquillais ensuite et enfiler des escarpins noir. Je sortis de la salle de bain dans cette tenue et regardait Jules

- Je voulais me démarquer de ces gosses de riches.

Je me mordis la lèvres doucement et le regarda d'un regard coquin

- Si tu veux, t'aura le droit de l'enlever après la soirée

J'éclatais de rire, je devenais beaucoup plus coquine, mais en même temps, j'étais hilare, j'avais juste envie de jouer. Mais qui savait vraiment comment allait finir cette soirée

- On y va ?

Tu es … Magnifique.

La tentation va être longue alors …

Je souriais à mon petit ami lorsqu'il me complimenta pour ma tenue, lorsqu'il m'attira contre lui j'éclatais de rire à sa remarque et je l'embrassais longuement avant de sourire et me détacher de lui pour nous diriger vers la voiture. Je voyais que Jules n'était pas ravi par cette soirée, mais je lui avais promis qu'on rigolerait, j'aimais voir ces gosses de riches parler de leurs vacances, c'était hilarant alors que je venais de Hampton, m'étais toujours débrouillée seule et n'avais jamais besoin de la carte credit de papa pour m'acheter une bricole à la mode.

Le début de soirée se passa merveilleusement bien, Jules m'avait présenter à son patron et je m'étais sentie complexée à la vue de Jane, jetant un regard furtif, et discret, sauf aux yeux de Jules, sur ma poitrine, comparant mentalement celle de Jane à la mienne, je grimaçais. Un serveur vint nous proposer une coupe de champagne que j'acceptais et je me hissais vers l'oreille de Jules, qui se pencha doucement pour ma faciliter la tâche

Arrête moi si j'en bois trop mon chéri

Plus tard, dans la soirée, à la cinquième coupe de champagne, sans vraiment m'en rendre compte, je sortais des toilettes, titubant vers Jules, une chose dans la main. Je m'accrochais au bras de Jules, son patron me regardais d'un mauvais oeil tandis que je hoquetait. Je posais la chose sur l'épaule de Jules, qui se révelait être mon soutien gorge.

Pourrais-tu..HIC... Garder ça mon chéri.. J'ai oublié mon sac dans..HIC..la voiture

Je me dirigeais vers le buffet et me servait un sushi lorsque je vis Jane passer ses mains dans le dos de Jules, lui soufflant quelques choses à l'oreille. Je titubais une fois de plus vers mon petit ami. Je tapais gentiment l'épaule de Jane.

J'aimerai que..HIC..Tu ne t'approche pas trop..HIC..De MON petit ami.HIC !

Je crois que tu as un sérieux problème avec l'alcool, je ne savais pas que Jules avais un faible pour ce genre de fille

Tu te crois HIC..belle.. BOURGEOISE..HIC..Viens là si t'es une femme..HIC!

J'étais prête à me battre, qu'elle vienne voir, Cassy m'avait appris à me défendre, et l'alcool intensifiait les choses, elle allait ramasser la gosse de riche, j'étais prête à lui sauter dessus

C’est pas vraiment un genre de fille pour toi, tu sais je connais un …

Ne l’écoute pas mon gars, ce n’est pas vraiment ce dont tu dois te préoccupais …

Calme toi une minute Cerise, il ne sait rien passé d’accord.

Respire Cerise et calme toi.

J'allais lui sauter dessus, et si Jules n'était pas là, cette réception ressemblerait à la fausse au lions à l'heure du déjeuner. Je voulais qu'elle déguste, je savais qu'il ne fallait jamais faire confiance à une blondasse telle que Jane, je me crispai dans les bras de Jules, et essayais de me détendre, sa voix m'apaisait doucement, mais je ne me sentais pas très bien.

- Je veux rentrer...Je vais vomir...

Jules ne pu rien me refuser, nous rentrâmes à la maison, et le pot de fleur devant l'immeuble en pris en coup, une minutes avant et c'était la belle voiture de mon petit ami. J'avouais que ce n'était pas très élégant, surtout devant Jules, mais je n'avais pas contrôler. Je fini par me couché dans le grand lit, m'endormir presque directement.

Le lendemain matin, j'avais un mal de tête insoutenable, je me réveillais par les aboiement, qui firent écho dans ma tête, d'Oscar.

_ OSCAR !!! LA FERME !

J'étais d'une humeur maladive et très peu sociable. Je trainais les pieds jusqu'à la salle de bain et m'enfillait une aspirine, j'avais écouter Cassy me compter ses lendemain de cuite et connaissait les "premiers secours" comme elle les appelait si bien. Je me dirigeais vers le salon et je fus surprise de trouvé Jules, assis sur le canapé

_ Tu m'en veux. S'il te plait ne crie pas....Ça résonne, ça fait mal...

Je regardais Jules me tendre la main, je me sentais honteuse, il avait l'air fatigué, épuisé, et mon coportement d'hier l'avait surement empêcher de dormir. Je saisissais fébrilement sa main et il m'attira vers lui, je me blottit dans ses bras, prête à sangloter, tremblotant déjà, je me pinçais la lèvre

- Je suis vraiment désolée

Je relevais la tête et plongea mon regard dans le sien avant de me mordre la lèvre et m'exucser une nouvelle fois

- J'ai fais quelques choses de grave ?

Je me décalais brusquement de lui, me sentant, un peu nue. Je tirais doucement le bustier de ma robe, pas a en montrer ma poitrine, je remarquais alors qu'elle était découverte.

- JULES ! Où est passé mon soutien gorge ! Mon dieu ne me dis pas que j'ai fais un striptease, où même l'enlever pour le lancer je ne sais pas où. Dis-moi que j'ai pas fais ça....

" Mais ne t'inquiète pas, tu es juste sortie des toilettes et tu as gentillement mis ton sous vetement sur mon épaule en guise de je ne sais quoi. J'aurais jamais laisser une chose pareille se faire. Un strip tease et puis quoi encore."

Je regardais Jules avec un sourire désolé et honteux, alors comme ça j'avais mis mon sous-vêtements sur l'épaule de mon petit ami. Je me souvenais peu à peu les événement qui suivirent et me pinçait la lèvre

_ J'ai vraiment insulter Jane de Bourgeoise..Et j'ai vraiment sous-entendu qu'elle était moche ?

Jules était fatigué et je l'embrassais doucement

- Tu veux dormir un peu mon chéri. Moi je prend une douche, et je crois que c'est ce que je vais faire

" Oui c'était drole a voir. "

" D'accord ma puce, en attendant je vais passer un coup de file ".

Je plissais le nez, je savais que Jules était mondialement crevé. Je prenais ma douche avant d'enfiler un t-shirt à mon petit ami et m'affaler sur le canapé

- Jules, tu sais qu'à force de ne pas dormir, tu va en crevé ? C'est essentiel.. et je m'inquiè...

Je n'eus le temps de terminer ma phrase que je m'endormais sans plus attendre, tombant dans les bras de Morphée

" Veille sur elle et pas de problème ! compris. "

.

Une heure, puis deux et une troisième, je dormis bien plus longtemps que je ne le cru. Vers les environs de 15h00 je sentis une sensation humide et froide sur ma joue. J'ouvrai une œil, puis l'autre et remarquais qu'Oscar me poussait la joue avec son museau. Je le regardais et le caressais avant de me lever et mettre la musique ROSE THEME je laissais mon corps s'emporter et je dansais de toute mon âme, n'entendant pas la porte s'ouvrir

Exténué par l'apres midi qui venait de passer Jules rentra chez lui en entendant une certaine musique de BO de film qu'il retenue assez vite malgré sa fatigue soudaine depuis plus d'une semaine. En s'avançant dans le salon il découvrit que Cerise s'adonait a sa passion la danse, un spetacle reposant pour l'esprit et les yeux.

Je dansais sans me privée, tout en faisant plusieurs choses à la fois, je fini par me retourner dans une pointe légère et remarquai Jules qui était rentré. Je souris doucement, m'approchant de lui et entourais mes bras autour de son cou avant de l'embrasser passionnément

- Tu as l'air exténué. Tu veux dormir ? Ou un café justement, quelques choses à mang...

DING DONG
La sonette de l'entrée retentit et je partis ouvrir, me foutant bien de ma tenue légère, un simple T-shirt de Jules. Je fus surprise lorsque je vis nos visiteur, je ne m'attendais pas à les voir ici.

- Papa ! Maman !
- Cerise..Comme je suis contente de...Qu'est-ce c'est que cette tenue.
- Rohhh Cadence laisse lui le temps de se remettre... Bon il est où le moustique là.
- Ju...J..Jules...Mes parents sont là...

" Bonjours Mr et Mrs Stewart "

Je souris et embrassais mes parents avant de les faire entrer dans l'appartement. Lorsqu'il arrivèrent dans le salon, Jules les salua poliment et je m'éclipsais pour me changer. J'enfilais un jeans et mettais le T-shirt en dessous de l'oreiller pour opter pour une chemise à Jules, j'aimais le style un peu garçon manquer, et garder l'odeur de mon petit ami m'apaisais. Je rentrais dans le salon et souris avant de m'assoir à côté de Jules, qui s'était posé dans le canapé en face de mes parents.

- Que faites vous à New-York ?

- Après la lettre que nous t'avions envoyer, nous avons penser que te faire une petite visite. Nous sommes à l'hôtel et nous avons demander après Jules Winster. Dis-moi Cerise, c'est une nouvelle chemise ?

-...C'est à Jules

Mon père, en entendant mes dernieres paroles, se tourna vers Jules en souriant, je savais qu'il allait le taquiner

- Et tu la laisses te dévaliser. Elle est bien comme sa mère, elle pique toutes les chemises.

- Daniel...Tu ne rouspetait pas quand nous avions leur âge

J'éclatais de rire, mes parents étaient les meilleurs du monde. Je posais ma tête sur l'épaule de Jules, ma mère ne pu que sourire et commença à parler.

- Tu sais Jules, lorsque Cerise était petite, elle adorait chanter du Mylène Farmer en dansant autour de la piscine.

- Et un jour elle est tombé. Elle a pleuré toute la journée, parce qu'elle croyait qu'il y avait le crocodile de Peter Pan dans la piscine.

Je boudais à présent, ce n'était pas drôle, enfin pas pour moi, j'avais toujours eu peur du crocodile de Peter Pan. Et je savais que pour m'embeter Cassy faisait le bruit du Tic tac lorsqu'elle dormait à la maison. Je me levais pour aller dans la cuisine afin de préparer le café. Ma mère me suivit pour m'aider.

- Tu sais Cerise je te sens plus...femme.
- Ah bon ?
- Oui, tu as changé, tu n'es plus la petite fille que je connaissais lorsque tu es entrée dans cette université.
- Ah euh... je n'avais pas remarqué.
- Tu me cache quelques choses toi hein.
- J'ai juste mal dormi...
- OH.. mon..Dieu... sayé ?
- Maman...

Et là, je la vis me prendre dans mes bras, m'embrassant, je ne savais pas qu'elle serait aussi heureuse, ma mère était du genre à se réjouir pour tout. Après la question fatidique, je lui répondu calmement, je lui dis alors que ce n'était pas pour cette raison que j'avais mal dormi, mais que l'évidence était là. Du côté de mon père

- Alors moust...Jules, tu es a l'université d'art toi aussi. Tu étudie quoi ? Sérieusement, je suis heureux que Cerise t'es trouvé, elle à l'air tellement épanouie..Je n'arrive pas à me faire que c'est une jeune femme à présent...

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