Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

Je souris lorsque mon petit ami m'embrassa, et pour la premier fois, je manquai d'air lors de notre baiser, je me détachai doucement de lui avant de prolonger une fois encore le baiser qui nous liait tous les deux. Jules était mon premier petit ami et je n'avais aucunes craintes, j'avais bizarrement une confiance aveugle en lui. Les sentiments ? Choses à laquelle je n'étais pas du tout habituée, les montrer était chose difficile, comme pour tout le monde. Je caressai la joue de Jules et sourit tout en suçotant sa lèvre inférieur avant de me détacher de lui, plongeant mon regard dans son beau bleu azur, je respirai un peu plus fort, l'air me manquait encore

- Waow

Le jeune homme étant discret et reservé a l'accoutumé venait de se réveler en sentiment avec Cerise mais la confiance qu'il avait en elle avait pris le dessus apparement. Voyant que la jeune ballerine prenait sa respiration, Jules aussa un sourcil et la regardait quelques peu inquiet.

" Ca va ? "

Jules caressa doucement la joue de Cerise en la regardant doucement

.

Je le regardai et pris sa main avant de la posée sur le dessus de ma poitrine, le laissant découvrir les battements irréguliers de mon cœur qui s'emballait fortement, je cru faire une crise cardiaque à un moment. Je souris et l'embrassa passionné avant de lui caresser la joue

- Tu crois que ça se calmera un jour, t'as vu l'effet que tu me fais Jules...

" Avec le temps peut etre ... "

" Désolé de paraitre deconnecter parfois."

Je souris à son sourire amusé et calme, sa remarque me fit légèrement rire, j'espérais que ces battements se calmerait avec le temps. Je le regardai avant de lui caresser la joue. S'il me parlait du fait qu'il ne réagissait pas comme tout les autres garçons, je ne pu m'empêcher de rire

« Ecoute Jules, si tu parles que, parfois tu réagis pas comme les autres garçons, ça me touche parce que c'est ce qui te rend unique, mais parfois c'est vrai que, j'ai l'impression que..que je sais pas du tout...»

" Le passé, voila surement ce qui empeche certaines choses. J'étais toujours était un ermite, ke genre de personne qui ne s'intéresse pas aux autres mais avec toi, la tendance est quelques peu inversés. ".

Je prolongeai le baiser, touchée par ce qu'il me dit. Jules m'avait avoué que, en quelques sorte, je le faisais changer. Je prolongeait le baiser, me blottissant un peu plus contre lui, à vrai dire, je m'étais mise à califourchon, passant mes mains dans sa chevelure sauvage, j'adorais ces cheveux c'était fou. C'était de ces moments rares que j'aimais passer avec lui. Je me détachais de lui, toujours à califourchon.

- " Et bien pour te dire, je t'aime comme tu es Jules, je ne te demande pas de changer tu sais. "

" Je le savais déjà, mais je voulais que tu saches un chose, tu es surement la seule personne a me faire rire autant

Je le regardai après avoir prolonger le baiser. Je me mordillais la lèvre après son passage, il était l'homme le plus parfait à mes yeux. Je lui caressai les cheveux et m'arrêtais net. Je fis une moue boudeuse puis souris l'embrassant encore et encore avant de lui souffler à l'oreille

" C'est en partie pour ça que tu m'aimes mon amour, je te fais rire, c'est l'essentiel "

Je lui caressai à nouveau les cheveux après lui avoir mordiller l'oreille et descendre vers ses lèvres tout en embrassant sa joue au passage. Oscar aboya et je me retournai. Il fit une espèce de geste de tête montrant la cuisine comme direction

" Les lasagnes sont au four depuis combien de temps bébé ? "

" Un petit moment --' ".

Je souriais amusée avant de regarder Oscar, je me mis a jouer avec lui lorsque j'entendis le portable de Jules sonner, je le vis ensuite partir sur le balcon, je ne m'occupais pas de ça, se n'étais pas mes affaires. J'entendis mon portable sonner à mon avis c'était la soirée. Je décrochais, le nom sur le cadran avait affiché "maman".

- "Allô"
- " Ma chérie, c'est maman, comment ça va ? Les cours sont bien, tu t'es déjà fais des amies ? Tu te sens bien la bas, tu me manque tu sais"

Je soupirai, ma mère avait beau être une femme timide, mais lorsque j'étais loin d'elle, elle pouvait angoisser très fortement. Je remettais une mèche rebelle derrière mon oreille, lorsque je vis Jules revenir au salon, je vis Oscar mâchouiller mes énormes chausson

- "Oscar !"
- "Qui est Oscar ma chérie?"

s'enquit-elle

-" Le chien de Jules maman"
- " Jules? Oh mon dieu tu es chez un garçon ? Tu le connais bien au moins il est gentil ? "
- " C'est mon petit ami maman..."
- " TU AS UN PETIT AMI "

hurla-t-elle presque de joie.

Je soupirai et ouvrit grand les yeux à la question que ma mère me posa par la suite

- " Tu te protège au moins"
- " Euhh maman,... C'est pas la question"
- " Mais Cerise voyons c'est important, tu as penser aux maladies et pire et si tu tombais enceinte ! "

Jules entendait tous, car pour moi, une conversation téléphonique se mettais toujours sur haut parleur, aller savoir pourquoi, c'était une habitude chez moi. Je sentis le rouge me monter aux joues

- " Maman, Jules et moi..enfin on l'a pas encore fait"
- " Mais tu as quand même tout ce qu'il te faut hein...?"
- "Maman !..Bon euhh je te laisse..on va manger..Bisou ! je t'aime "

Je racrochais avant même qu'elle n'eut le temps de réponre, je soupirai de soulagement, le rouges me montait encore aux joues lorsque je croisais le regard de Jules

- " C'était ma mère "

" J'avais compris mon amour,. "

Jules avait pris Oscar alors que celui-ci ne lâchait pas mon énorme chausson en forme de chien, j'éclatais de rire, pendant que le chiot secouait la tête en grognant. Il était vraiment mignon. Il finit par lâcher ma pantoufle et je me levais, de façon à faire face à Jules, je lui prit la main, le tirai vers la cuisine avant de servir les plats. Je m'assis à ses côtés avant de le regarder.

- " Ca ne va pas mon ange ? Qu'est-ce qui se passe "

Je sourit doucement et l'embrassai tendrement

- " Aufaite, vraiment désolée pour ma mère, je te parie que la deuxième fois qu'elle sonnera, elle voudra absolument te parler, et puis elle va te demander ce que tu fais dnas la vie, si tu as déjà eu des petites amies, elle va te faire un vrai intérogatoire. Mais j'essayerai de te faire échapper à ça, en tous cas pour le moment "

" Mon patron veux absolument que je termine un morceau pour demain du coup mon delai est raccourcis. "

" C'est normal qu'elle s'inquiète et je trouve bien que vous soyez proche ainsi."

Je regardais Jules en me pinçant la lèvre, c'était ça les alléat de la vie, il fallait toujours prévoir le pire, je le trouvais très professionnel. Je lui embrassais la joue avant de piquer dans son assiette comme une petite gamine, je souriais avant de produire un petit son, lui prouvant que ce que j'avalais était délicieux

- " Je voulais vérifier si dans ton assiette c'était meilleur, ça l'est "

J'éclatai de rire et l'embrassa, sur les lèvres cette fois. Je lui caressais la joue de façon à essayer de le rassurer, si il ne l'était pas

- " T'inquiète mon ange, Oscar et moi on va rester dans la chambre et on ne te dérangera pas, à part si tu veux que je reste et je t'écoute, ce ne sera pas comme la dernière fois où on s'est rencontré, je te promet d'être très très très discrète."

Lorsque Jules me dit qu'il toruvait ça bien que je sois aussi proche de ma mère me fit rougir, je ne trouvais pas ça bien que ma mère me demande des telle choses, surtout que..mais voilà quoi...

- " Ouais mais je trouve sa gênant qu'elle en demande sur ma vie sexuelle...enfin...celle que j'aurai..plus tard.. "

" Mais je t'en pris mon amour mange mon assiete au moins, elle ne sera pas gacher. "

" Non repose toi, j'en aurais pas pour bien longtemps "

" On en fait pas deux des comme toi tu sais. ?! "

J'adorais lorsqu'il prolongeait ainsi, plus qu'à l'habitude, car nos baiser avait habituellement un temps à ne pas dépasser, mais lorsqu'on s'autorisait de prolonger autant, c'est qu'on voulait faire passer un message, où lorsqu'on en avait vraiment envie. Je souris, il avait l'air d'être désolé, il l'était car je le sentais au plus profond de moi. Je lui caressais la joue et fit une moue boudeuse, telle une mère et une enfant à la fois.

- " Et moi je te dis que tu dois manger ton assiette, parce que si tu mange pas c'est pas bon pour la santée, et tu va dérégler tout ton système digestif et ton estomac il va se retrecir et tu va maigrir, pour finir comme le trois quart de ma classe de classique, aussi maigre qu'un cure dents, alors tu fini ton assiette"

Je le foudroyais du regard, d'un air autoritaire, ou j'essayais pour le moins, je refis ma moue boudeuse lorsqu'il me dit alors que je devrais me reposer

-" Mais je veux te voir à l'oeuvre moi, je me ferai toute petite, j'écoute un petit boue, et puis j'irai dod, et puis de toute façon je m'endormirai surement dans le canapé, parce que j'arrive pas à m'endormir le prémier soir, surtout dans un lit que je connais pas encore...enfin si je dors dans ton lit..."

" Bien je vais me mettre a manger chef ! "

" Je deviendrais jamais un fil de fer mon amour, on ne maigris pas en un jour. "

" Je vais la ou tu vas mon amour."

Donc si je récapitule, il accepte que je dorme dans son lit et que je le regarde jouer, mais c'est super, je fini mon assiette avant de le regarder, je débarrasserai quand il aura fini. Je lui caressait la joue une fois encore, un geste dont j'avais envie, puis sourit en haussant les épaules lorsqu'il arqua un sourcil. On ne maigrit pas en un jour, j'en suis consciente, mais je voulais dire que s'il continuait comme il l'avait fait, ça aurait été le cas. Je trépignai d'impatience

- Je peux déjà aller me mettre dans le canapé pour t'attendre, s'il te plait..S'il te plait !....

Jules toujours sur un ton calme et rigolard hocha la tete a sa petite amie, lui indiquant qu'il se charger du reste. Une fois Cerise dans le salon, il s'atela a finir son assiette et s'occuper de la vaiselle et de tout le tralala. Faire le ménage ? Il y était habitué depuis un certain temps surtout depuis son enfance. Une fois cela terminé,le jeune musicien alla chercher ce dont il avait besoin pour composer et se rendit au salon ou tronait l'instrument de sa mère. Un instrument sur lequel il n'avait pas pauser ses doigt depuis de nombreuses années. Il s'installa derrière le piano noir et posa ses doigt sur les touches blanche. Instinctivement un air de souvenir lui revint en mémoire. Il se stoppa net quand il regardait Cerise et un sourire vint ornait son visage. Une idée lui était venue, une mélodie douce et calme ou le piani régnait en maitre de note de musique.

Je le regardai en souriant, il était vraiment parfait, je le regardais encore et encore, installée, ou plutôt allongée dans le canapé, le coude sur l'accoudoir, ma tête reposant sur ma main. Jules se mit à jouer et je fermais les yeux, c'était vraiment magnifique, j'en souriais, comme à chaque fois qu'il jouait, Oscar était allongé à mes pieds, la tête posée sur mes jambes. C'était vraiment magnifique, j'adorais...

" Tu devrais allez te coucher mon amour, tu dors a moitié ... ".

J'écoutais la musique tout en rêvassant et après quelques heures passées, il est vrai que je commençait à rêvasser, mais je ne voulais pas aller dormir, j'étais vraiment trop bien. J'ouvrai les yeux lorsque je sentis la main de Jules me caresser la joue, je lui fis une petit moue boudeuse

- " Je rêvassais, c'est pas pareille. Il y a rêvasser, s'envoler quand on écoute quoi que se soit, comme quand j'écoute lorsque tu joue, et dormir, et la c'est se REPOSER..."

Je fini quand même par céder et me lever, je boudais, je voulais resté mais mes yeux me dictait le contraire

- " Bon oki, je vais faire dodo, mais termine vite tu me manque déjà "

La regardant filer vers le coin des chambres, Jules esquissait un sourire. Il ne tarderait pas non plus a la suivre car il n'avait pas dormi depuis prés de vingt quatre heure. Il regagna sa place derrière l'instrument a cordes et se remit a faire danser ses doigts sur le clavier d'ivoire qui abritait un tas de souvenir de son enfance si etrangère a autrui. Une heure fini par passé de but en blanc sans qu'il s'en aperçoive vraiment. Il était plutot content de sa composition meme si il doutait encore sur le résultat final de sa maquette. Se levant, il alla a la cuisine se faire un café pour garder l'oeil et l'esprit ouvert. Une fois son café prés il passa faire un tour dans sa chambre pour voir si, Cerise dormais paisiblement. Il aimait la regarder dormir, ne lui demandait pas pourquoi, c'était comme ça, ca le rassurait et apaiser ses pensées parfois noires;

Je filai dans la chambre et m'allongeait sur le lit, Oscar vint au pied de celui-ci, je me penchais et le regardai, non pas d'un air autoritaire, quoi que, et soufflais doucement

- " J'aimerai que tu jette un œil sur Jules, et s'il est trop tard, tu le rappelle à l'ordre, oki "

Je souris lorsque je le vis filer au salon, je m'endormais par la suite, un sommeil sans rêve mais apaisant. Plus tard j'ouvris un œil et j'aperçus Jules, prit sur le fait, il me regardait dormir

- " Mon ange, tu as fini ? Tu viens dodo bientôt ? "

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