Tout arrive a qui sait attendre [ Cerise S. ]

Ne t'inquiète pas pour ça, j'ai plus d'un tour dans mon sac.

Tres retro, et tu es magnifique.

Je le regardais en souriant, j'étais magnifique, une manière de plus à me faire rougir. Je n'avais presque jamais rougis devant Jules, sauf peut-être à notre première rencontre. Je l'embrassais du bout des lèvres

- Tu sais, quand..Quand je suis repartie sur le campus... J'allais souvent sur le toit, parce que c'était notre endroit, là où on s'est donné notre premier baiser, le soir même où on s'est rencontré. Et chaque soir, je trouvais la lune moins belle, parce que tu n'étais plus là...

Oui mais tu sais quelques fois ressasser le passé ... C'est pas tellement ce qu'il y a de mieux, mais puisque tu en parles tu dois aussi savoir que ma lune n'était plus aussi étincelante depuis ton départ. L'Europe a des paysages tres intéressant, mais ma lumière n'était pas avec eux, donc je n'y trouvait aucun interet a les contempler.

Je le regardais et l'écoutais attentivement. Il avait raison, ressasser le passé n'était pas une bonne idée, mais j'avais eu besoin de lui dire. Lui dire à quel point il m'avait manquer. Je le regardait partir vers la cuisine et sourit

- Tu les as toute manger mes pâtisserie au moins ?

J'éclatais de rire et partit vers la cuisine avant de sourire et m'assoir sur le plan de travail comme une enfant. J'en avais fais un bon nombre, et je n'aimais pas lorsque c'était gâcher. J'avais manger une bonne partie du gâteau au chocolat et n'avait pourtant pas pris un gramme.

Tu ne m'avais pas dit que ta prof d'histoire de l'art était une super canon. N'empêche, je serais presque jalouse..

Ma professeur d'histoire de l'art ?
Ouai elle est pas mal mais sans plus, je suis pas l'un de ses braves eleves qui en pincerait pour une fille qui pourrait etre ma mère. Surtout que la perle rare je l'es deja pour moi.

Je souris doucement avant de le regarder et l'embrasser passionnément. La perle rare, j'étais SA perle rare. Tiens Jane prend ça dans tes dents, ça t'apprendre à trop t'approcher. Alors ainsi, Jules avait manger mes pâtisserie en compagnie d'Oscar et de son meilleur ami Thomas. Je regardais Oscar qui, à l'entente du mot " pâtisserie" s'était directement retrouvé dans la cuisine

- Je suppose que c'était bon, vu à la vitesse à laquelle il a débarqué lui.

Thomas, le meilleur ami de Jules, celui qui avait gentiment fais sortir tous le monde lors de la réception alors que j'étais droguée comme jamais. Je fis de petit yeux désolé

- Je tiens vraiment à remercier Thomas d'avoir fait sortir tous le monde, j'aimerai m'excusé aussi, parce que comme première rencontre avec ton meilleur ami, on a fait mieux hein ?

Thomas ? Tu y tiens toujours a ton idée de remerciement a ce que je vois. Si tu veux le voir, je suppose qu'il sera a son boulot, on a pas mal de chose en commun sauf son job. Il bosse avec mon père. Il a du courage. Donc si tu veux le voir il faudra allez dans les bureaux de mon père.

Je regardais Jules et sourit, c'était une bonne idée, mais le déranger à son travail, c'était déplacé

- Tu sais, c'est dans ma nature Jules, faut toujours que je remercie en personne, que je m'excuse, je suis comme ça..

J'embrassais mon petit ami avant de froncer les sourcils

- Mais, tu sais, aller jusqu'au bureau de ton père, Déjà, si j'y vais, pas toute seule, j'ai trop peur. Ensuite, si tu viens, ton père te verra et s'il vient vers nous, je stress à mort. Et puis déranger ton meilleur ami à son travail, je crois qu'il va encore plus me prendre pour une demeurée

Ne t'inquiète pas, je ne te laisserais pas allez dans les locaux de mon père toute seule. Pour ce qui est de Thomas ... Lui meme est un demeuré, surement le plus des deux si tu veux mon avis. Et ...

Puisqu'on parle du loup. Tom pense qu'un diner de rencontre pourrait se faire ? Le coeur t'en dis ? Les paternels seront aussi la, donc si t'es parents sont partant ... ou pas c'est a toi d'en décider.

Je le regardais et hochais la tête avant de sourire et de sautiller dans la cuisine avant de m'arrêter soudainement, mes parents était retournée à Hampton, je grimaçais et le regardais, expliquant que pour mes parents ce ne serait surement pas possible. Je grimaçais et penchais là tête, soufflant à Jules d'une manière à ne pas le dérange

- Ce soir ?

Jules hocha la tête d'un air positif alors que j'ouvris grand les yeux, comment allais-je faire pour me préparer en si peu de temps. Lorsque mon petit ami raccrocha, l'air de dire " Mais qu'est-ce que tu fais", je le fusillais du regard alors que je m'ajitais

- Mais, mais, comment je m'habille moi, et si ton père il m'aime pas & ton meilleur ami hein ? Et si ma robe est trop courte, et si ça se passe comme à la réception. JULES ! Tu m'empêche de boire hein !

Je lui souris et le soir venu, alors que je sortais de la salle de bain, après m'être douchée, habillée, coiffée & maquillée, je le regardais, tournant sur moi même, lui montrant ainsi ma tenue

- T'en dis quoi ?

Sublime !

On y va ?

Je le regardais et grognais, Jules avait mis du gel, je boudais, voilà, il avait réussi, comment allais-je gérer mon stress, si ses éternel cheveux était enduit de gel, je ne pouvais donc pas passer ma main dedans

- T'as mis du gel..

Je grognais encore puis sourit lorsqu'il m'embrassa. Je hochais la tête pour approuver sa question. Nous partîmes enfin jusque chez Thomas, qui vint nous ouvrir. J'entrais timidement, presque suspendue au bras de mon petit ami. Je vis alors le père de mon petit ami, ils se ressemblaient beaucoup, ,c'était surprenant. Celui si nous adressa un sourire

- Tiens, Jules, heureux de te revoir en compagnie de ... ?
- Cerise Isabella Stewart, monsieur Winster, enchantée de faire votre conaissance

Je lui souris poliment et caressait la mains de Jules de mon pouce, de façon à lui montrer que j'étais là. Le paternel de mon petit ami le regarda

- C'est fou comme elle lui ressemble Jules...

Oui, pareillement.

Aucun rapport avec elle.

Cerise laisse moi te présenter Thomas et Opale.
Opale ; Je suis heureuse de te connaitre Cerise, Jules nous a beaucoup parler de toi.
Thomas ; Et bien je suis content de pouvoir enfin faire ta connaissance.

Je regardais la scène stupéfaite, je comprenais alors lorsque Jules disait qu'il n'était pas très proche de son père. Je souris à la jeune femme qui accompagnait monsieur Winster et m'excusais lorsque Jules m'attira vers son meilleur ami et sa fiancée

- Je suis enchantée de vous rencontrer, toutes mes félicitations pour vos fiançailles.
Opale; Je te remercie
- Je tenais aussi à te remercier Thomas, pour l'incident de l'autre soir. Je m'excuse de mon comportement.
Thomas; Tu es toute pardonnée

Je sentis le regard de Jules se poser sur son père et m'excusais auprès de Thomas & Opale avant de prendre délicatement le visage de Jules dans mes fragiles petites paumes.

- Mon amour, tu sais que si ça ne va pas tu peux me le dire. Evite de les regarder s'il te plait, je n'ai pas envie que tu te gâche la soirée parce que tu es en colère. Et ne nie pas le contraire, je le sens.

Ne t'inquiète pas ca va.

James; Moi qui pensait que tu étais célibataire depuis Arianne.

Je crois que tu es bien trop individuel pour te rendre compte de quoi que se soit.

James; Comment te sens tu pour ...

Rien ne te regarde a vrai dire.

James; Je vois. Et j'aimerais que toi et Cerise veniez a mon mariage avec Grace.

Grace ; Je ne savais que tu étais aussi ressemblant qu'avec ton père. Mais soit clément envers lui ...

La jeune fille de bonne famille que j'étais, sourit lorsque Jules m'embrassa et sortit, je le laissais faire. Je continuais de discuter avec les amis de Jules, bien plus sympathique qu'à la soirée mondaine de la dernière fois. On me proposa une coupe de champagne que je refusais poliment

Opale; Oh, tu ne bois pas. Même pas une goûte ?
-Disons que je ne supporte pas l'alcool, je préfère ne pas boire.

Opale sourit et Thomas me fit un clin d'œil, se souvenant de la soirée de bienfaisance et bienvenu pour Jane. Je vis alors le père de Jules passer le balcon, puis repartir. Ce fut au tour de Grace, la belle-mère de mon petit ami. Je le vis rentrer, légèrement en colère. Je m'excusais auprès de Thomas et me dirigeais vers le balcon, je m'occuperais de Jules plus tard

- Bonsoir, vous n'avez pas l'air d'aller très bien
Grace; Je crois que Jules ne m'aime pas
- Vous savez..,
Grace; .. Grace
- Merci. Vous savez Grace, je ne crois pas que ce soit votre personne, Jules est un garçon très taciturne, il a peu de contact avec son père, peu de ressemblance point de vue goût personnel. Ne le prenez pas personnellement, mais Jules est beaucoup atteint par la mort de sa mère, le fait que son père se soit vite remis la beaucoup frustré. Croyez moi, il finira surement par vous acceptez.

Je lui sourit et la jeune femme me remercia. Je fini par rentré et chercher Jules du regard. Il se trouvait qu'il était revenu près de son meilleur ami. Je le regardais et souriait avant de le rejoindre. Je me hissais sur la pointe des pied et lui chuchotais doucereusement à l'oreille

- Si tu veux en parler, je suis là, ne l'oublie pas

Grace ; A ce qu'on m'a dit vous formez un couple d'artiste.

Opale ; Et si on passait a table ?
Thomas ; Oui sa serait ...
James; des métiers bien cupide, je te l'avais pourtant dit Jules !

Je souris puis tournais la tête vers la voix que j'entendis quelques instants plus tard. Grace nous avait rejoint parlant de Jules & moi. Des artistes, je ne dirais peut-être pas ça. Deux grands passionné d'un art oui, car être artiste, c'était bien des choses que je n'avais pas encore acquise. Je vis ensuite un Jules énervé, suite à la remarque de son père. Je me retournais vers monsieur Winster, la rage dans les yeux et au ventre. Cette fois, Jules ne pouvait pas m'arrêter, j'allais être violente, mais pas dans mes gestes

- Sâchez monsieur Winster, qu'être artiste c'est avant tous être passionné par quelques chose. Avez-vous déjà entendu votre fils jouer, rien qu'une seule petite seconde, l'avez-vous entendu composé pendant toutes ses années. Je ne crois point, car chacune de ses note, assemblée pour formée une mélodie ne transmet aucunement un message d'argent et de cupidité. La danse, c'est pareil. Je ne crains que vous ne soyez assez mature et informé sur ce qu'est l'art monsieur. Je travaille dur non pas pour réussir ma vie et gagner beaucoup assez d'argent pour payer tous ce que je dois à la société. Je travaille dur et j'y met mon coeur pour que les gens soit toucher par l'une de mes prestacion, qu'il ressente la passion que je fais preuve.

Je respirais fort, Jules allait parler mais je mis mon bras sur son torse, je n'avais pas fini ma pensée et je voulais vraiment qu'il se rende compte de son erreur

- En se qui concerne la cupidité, je crois que vous êtes mal placer pour fait ne serait-ce qu'une seule remarque. Je perçois nottament que entre un directeur d'une agence immobilière et un artiste, nous nous demandons lequel pense le plus au fric. Après tout c'est vrai, un artiste, tant qu'il est passionné, il se fou de l'argent qu'il peux gagner, un directeur d'agence immobilière, tant que ses emplyer lui ramene de quoi se payer une ferarri ou des vacances au brésil, il en a rien à foutre que la maison tombe en ruine.. Voyez monsieur Winster, comme toute vos paroles sont déplacée face aux mienne ? J'appelle ça de la logique et de la justice.

James ; Tu ne réplique pas ?
Parfois les mots font plus mal que le silence mais avec toi je prefere l'indifférence. Thomas, Opale vous nous excusez, mais sa sera pour un autre fois.
Thomas ; Bien sur.
James; Bien sur, bien sur ... Mais il me semble Mademoiselle Stewart qu'une consommatrice de Drogue n'est pas une quelconques remarques a me faire.

Je regardais monsieur Winster sans dire mots, il était presque entrain de trouver secours auprès de son fils qui pris ma défense. Jules s'excusa auprès de ses amis mais James réplique une chose qui me blessa. Jules réagit au quart de tour et envoya un violent coup de point à son paternel, j'en fu surprise, je ne l'avais jamais vu violent. Je le pris par le bras m'excusez, prétextant qu'il vallait mieux rentré. Je m'arrêtait une dernière fois et me tournais vers James

- Monsieur Winster
James; Oui ?

répondit-il avec une once d'espoir que je ne lui présente mes excuse

- Allez vous faire foutre.

Lachais-je fiérement, un sourire mesquin accroché sur le visage.

Une telle rage s'éprit de mon petit ami et je ne suis comment le calmer, il tapait contre le mur, à en saigner. Je m'approchais de lui, avec prudence et essayais de le calmer, mais je pris un violent coup de sa part, sans qu'il ne le veuille réellement. Une larme coula, par la douleur que je ressentis sur le coup. Je le regardais et lorsqu'il se tourna vers moi, il voulu s'approcher, mais je me reculais

- Jules, pas avant que tu te soit calmer...

Jules sentis qu'il venait de frapper Cerise a la machoire. il se retourna voulant s'approcher, mais elle recula mais il comprenait son refus. Il se recula et se laissa glisser contre le mur de l'escalier et s'asseya sur les marches. Jamais la colère ne l'avait autant submerger et le fait d'avoir frapper Cerise sans le voulour bien sur, le rendit amère de son comportement. Il s'en voulait et regarda le sol de bois qui formait les escaliers du batiment.

Je le vis savoir, il s'en voulait, je le sentais, ça me faisait du mal de le voir comme ça. Je m'approchais de lui et m'assis à ses côtés

- Bébé

Je lui relevais le menton et plongeais mon regard dans ses yeux, ça me brisais le coeur, il s'en voulait terriblement

- C'est pas grave.. Tu ne la pas fais exprès mon chéri, t'étais en colère, j'aurai du resté tranquille, le temps que tu te calme

Je lui caressais la joue

- Allez viens, on va à la maison te soigner, on en parle plus

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