Insomnie quand tu nous tiens [ Cerise ]

La jeune fille sourit et lui caressa la joue, lui affirmant qu'elle comprenait, oui, elle comprenait, malgré le fait qu'elle n'avait presque jamais eu des problème avec sa famille. La jeune fille le regarda et l'embrassa tendrement, il avait l'air sincèrement désolé mais n'avait pas à l'être

- Tu n'as pas à l'être Jules, c'est tous à fait normal, même si je ne sais pas comment s'est passée ta vie avec tes parents, et qui est surement différente de la mienne. Tu sais j'ai toujours été proche de mes parents, je ne dis pas que tu ne l'es pas, je n'en sais rien, mais j'en suis sur, tu es une personne adorable, je disais, j'ai toujours été proche de mes parent, je les aidait à l'épicerie lorsqu'il avait besoin de moi, malgré mon emploi du temps chargé, entre les cours de chant et de danse, j'ai toujours trouvé le temps pour mes parents. Et si toi tu n'as pas envie d'en parler maintenant, je comprends, je ne te demande pas de tous me raconter en un seul soir. Je n'aurai plus de surprise sinon

Cerise sourit et éclata de rire, elle n'avait jamais autant parler. La ballerine se leva et le regarda. Cerise se secoua la tête comme un chien et remis le pull de de Jules corectement avant de se reblottir confortablement dans les bras de son petit ami, elle le regarda et haussa les épaules en fesant une petite bouille comme pour dire que c'était normal, que ça lui prenait souvent.

« Je crois que tu parles pour deux Cerise. ».

« Dis toi que … Les relation avec ma famille sont … Assez tendues … Mais merci d’etre la ».

La belle Cerise regarda Jules et se pinça la lèvre, pourquoi parler pour deux ? La brunette ne put s'empêcher de caresser la joue de son petit ami et l'embrasser, elle comprenait parfaitement, ayant toujours été à l'écoute de autres. Cerise prolongea le baiser et plongea son regard dans celui du beau pianiste

- Et dis-toi que je serais toujours là en cas de problème.

La belle brunette lui fit une grimace, juste par l'envie de le taquiner.

- Au fait, pourquoi je parle pour deux ?

« Je faisais référence au fait que je t’aurais tenue aussi ce genre de discours sur la famille et tout le reste. »

La jeune Cerise sourit à son petit ami pour finir par se blottir une fois de plus contre lui. Jules regardait les rues déserte de la ville tout en jouant avec les mains de Cerise. La belle brunette regarda le cou de Jules et lui fit un tout petit, minuscule et doux baiser, elle haussa les épaules lorsqu'il la regarda

- Attends toi à en recevoir beaucoup de ma part, et là..j'aime bien, c'est tout mignon

Elle se pinça la lèvre et lui caressa la joue, Jules était vraiment l'homme qu'elle cherchait, sans vraiment chercher d'ailleurs.

- Je pourrais rester toute la nuit ici.

« Toute la nuit ? Je tiens pas a ce que tu malade Cerise ».

Cerise le regarda avec beaucoup d'amour dans les yeux, la belle ballerine lui caressa la joue et se blotti contre lui lorsqu'il resserra son étreinte, une nouvelle fois. La brunette le regarda et sourit, Jules était protecteur envers elle, ce qu'elle trouvait magnifique. Cerise l'embrassa doucement puis se retira

- J'ai tellement peur de rêver Jules, que demain la réalité me revienne en pleine face. On peut rentrer aussi.

La jolie chanteuse regarda son petit ami, il était vraiment quelqu'un de bien, très attentionné, protecteur.

- Mais, je crois que je vais aller dormir un peu, si j'y arrive.

« Si tu veux rentrer pas de problème je te raccompagne a l’intérieur ? »

« Tu ne rêve pas Cerise ».

La jeune fille regarda Jules lorsqu'il rit pendant qu'il l'embrassa. Cerise savait très bien que c'était une manière de lui montrer qu'elle ne rêvait pas. Cependant, alors que Jules se levait pour la raccompagne, la jeune fille croisa les bras sur sa poitrine, le regardant avec un visage d'enfant boudeur, offensé.

- Je rentre pas tant que j'ai pas eu un vrai bisou de ta part, sans rire cette fois

Elle se leva et passa ses mains gelées sous le t-shirt de Jules, sur les côtés. La ballerine se mordit la lèvre et se hissa sur la pointe des pied pour attendre les lèvres de son petit ami, qu'elle emprisonna dans un long baiser, tout aussi passionné. Cerise le regarda et lui caressa la joue

- Je t'aime, on se voit bientôt hein. Tu ne peux pas imaginer à quel point tu va me manquer.

« Toi aussi tu vas me manquer, ne doute jamais la dessus d’accord ? ».

Lorsqu'il prolongea le baiser Cerise ne pu s'empêcher de sourire, cet être était vraiment parfait. Bien entendu, elle ne doutait pas, après les paroles de Jules, qu'elle allait lui manquer, sans vraiment savoir comment la brunette avait acquit une confiance aveugle envers le jeune homme. Pour toute réponse elle se contenta de sourire et l'embrasser sur la joue. Lorsque Jules descendit du toi, elle le regarda et ce fut avec une extrême prudence qu'elle imita les gestes de son petit ami. Elle plongea son regard dans celui du jeune pianiste

- Je ne doute pas de toi Jules, je t'aime et j'ai vraiment confiance en toi

« Il n’y a qu’une seule personne dans ma tête et une autre dans ma confiance, et l’addition des deux font que tu es cette certaine. »

Cerise le regarda et sourit, il avait confiance en elle et c'était merveilleux, elle croyait en l'avenir, cette rencontre qui avait engendrer une si parfaite alchimie. La ballerine attrapa la main de Jules et marcha avec lui. Lorsqu'il arrivèrent à la chambre de Cerise, qui avait dirigé Jules jusque là d'ailleurs, la brunette fit une mine triste.

- C'est ici qu'on se dit à demain.

Elle se mordit la lèvre et le regarda, la brunette l'embrassa encore et encore. Cerise ne se lassait vraiment pas de ses lèvres.

« On dirait oui ».

« Mais on se revoient très vite okay … ».

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